Grand succès pour notre première université d’automne
Après une période électorale pour le moins chargée à Victoires Populaires, nous avons organisé notre première université d’automne, le week-end du 12-13 octobre à Misy, en Seine-et-Marne.
Des participant·es venu·es de toute la France
Ce fut pour nous l’occasion de passer un moment privilégié avec une partie de celles et ceux qui vont écrire la suite à nos côtés.
Dans ce groupe de 80 participant·es, venu·es des quatre coins de la France, se trouvaient majoritairement des nouveaux·velles investi·es pendant les législatives et animé·es par la même volonté : poursuivre leur engagement pour faire gagner la gauche.
Pour cela, nous avons pris le temps de revenir sur nos derniers enseignements électoraux et sur les orientations actées lors de la récente assemblée générale. Puis est bien sûr arrivé le temps de l’action : la préparation concrète de la suite avec l’enjeu de décliner et d’adapter notre stratégie partout en France.
Tout part des groupes locaux, dont beaucoup s’étaient mis en pause (bien méritée) après la dernière campagne. Cette université visait donc à recréer une impulsion pour s’investir dans la durée sur les territoires.
Une bonne dose de motivation
Le premier ingrédient du succès est donc une bonne dose de motivation et ce week-end a ainsi indéniablement été à la hauteur de nos attentes.
Ce qui nous a motivé c’est d’abord de prendre le temps d’échanger, de vivre des moments informels, de partager nos craintes et nos espoirs, de se sentir compris·es, soutenu·es, et finalement très entouré·es.
Ce qui nous a motivé·es ce sont aussi nos objectifs concrets et stratégiques : lutter contre l’abstention électorale qui fait perdre de précieuses voix à la gauche et s’imposer dans la bataille culturelle face à l’extrême droite.
Et bien sûr, ce qui nous a motivé·es c’est de voir que pour ça on était nombreux·ses et à Victoires Populaires on sait qu’ensemble on peut faire beaucoup.
Bref, vous l’aurez compris, ce week-end était incroyablement motivant mais ce n’est que le début : depuis nos universités d’automne, trois nouveaux groupes locaux se sont déjà créés et six, jusqu’ici en sommeil, se sont relancés avec des apéros de remobilisation et des réunions entre référent·es pour mettre en place les prochaines actions. Sans parler de tous les groupes qui sont en ce moment même en train de se relancer.